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Auguste Jouve

Auguste Jouve, frère cadet de Michel Jouve, est né en 1854.
Comme son père Auguste, négociant, il s'occupe d'abord de sériciculture, spécialisé dans la vente " de graines (oeufs) de vers à soie" puis devient Directeur du "Comptoir d'Escompte de Cavaillon". En 1902, il est élu suppléant au tribunal de Commerce d'Avignon. Auguste sera le gestionnaire d'un bien familial reconvertit a temps, dans les années 1870, en immeubles de rapport. Il crée une œuvre commune d'intérêt public, une Fondation Jouve au sein de la Fondation Calvet. Il aime les mondanités, président de la Société Hippique de Cavaillon, trésorier du Cercle de l'Indépendance ou membre actif du Cercle de la Fraternité, il est le lien avec la société Cavaillonnaise. Il se mari et perd son épouse Hélène en couche à la naissance de son deuxième enfant mort né, puis sa petite fille Suzanne à 6 ans. Il est épris de photographie, fait preuve de fantaisie et de modernité. Il meurt en 1936.

31 août 1905 Auguste à Michel  : « Hier en faisant visite aux malades de l'hôpital j'ai trouvé toussant et crachant Joseph l'hermite de Saint-Jacques. L'on ne croit pas qu'il s'en tire car la bronchite chronique dont il souffrait est à l'état aigu. » 
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